L’Alps Bike Festival #2

Découvrir le massif des Aravis en VTT, au milieu de la forêt, sur les pentes de la Clusaz. Eh oui ! L’Alps Bike Festival est de retour du 14 au 16 juin. 3 jours pour célébrer le VTT de toutes les façons possibles et faire le plein d’adrénaline.

De 3 à 79 ans, de l’amateur au pro, XC, enduro, rando, kids, en VTT musculaire et VTTAE, l’Alps Bike Festival accueille les sportifs de tous les horizons. L’année dernière, ils étaient 2 598 participants, de plus de 20 nationalités, à s’affronter sur les pentes de La Clusaz. Entre les tops 10 mondiaux de l’enduro et les grands noms du cross-country, 91% des coureurs et visiteurs souhaitent rempiler pour une saison 2. Chose dite, chose faite, pour cette seconde édition l’ABF accueille 3 200 participants sur 18 épreuves en 3 jours. Au cœur du cadre exceptionnel des Aravis, un massif montagneux à la beauté envoûtante, où les sportifs évoluent à bord de leur discipline favorite. « On a la chance d’avoir un terrain de jeu avec des forêts à proximité de la station et un terrain plus montagneux en altitude. On trouve aussi bien des parcours accessibles pour les débutants ou les familles que des pistes engagées pour les vététistes assidus. On peut aussi envisager de vastes tours : en partant du plateau de Beauregard on peut descendre jusqu’à Thônes, remonter et filer au Grand-Bornand en faisant le tour du Danay ! Je ne me lasserai jamais de ce terrain, le potentiel est énorme », confie Kilian Bron, as du VTT et ambassadeur de la station, dans d’une interview pour l’ABF.

De 2018 à 2019

Suite à l’édition 2018, l’Alps Bike Festival souhaite s’améliorer et permettre à chacun de vivre une expérience unique, adaptée à tous. La recette ne change pas, elle est simplement plus assaisonnée. C’est l’occasion pour chaque sportif de découvrir de nouveaux paysages, puisque tous les tracés changent. Les formats de course évoluent, certaines gagnent en kilomètres et en dénivelés alors que d’autres se réduisent. Le but ? Permettre à tous les niveaux de pouvoir participer. Une course par discipline, par jour et n’importe qui peut passer de la rando, à l’enduro tout en essayant le VTT électrique. On n’arrête pas le changement ! Le VTT électrique, ou VTTAE pour les intimes, est au cœur de l’événement puisque deux randonnées lui sont consacrées. Terroir, partage et animations, les maîtres mots du festival ne changent pas, de quoi ravir les plus conservateurs. Tout le village se pare aux couleurs du deux roues et de nombreuses animations sont proposées pour que chacun puisse découvrir cette célèbre discipline. La rando VTT se décline toujours sous 4 formes dont 3 restent 100% originales. La Rando Gourmande, avec un ravitaillement assuré par les agriculteurs et leurs produits régionaux. La Rando Games et ses épreuves ludiques et insolites ainsi que la Rando Zic’Moutain pour pédaler au rythme des groupes de musique présents tout au long du parcours.

Le cross-country, star de l’événement

Le cross-country se décline en plusieurs courses et chaque sportif y trouvera son compte. Les 15-16 ans peuvent s’essayer à cette discipline sur un XC de 15 km avec 540 m de dénivelé positif. Le XC Bélier propose un format de course intense avec un tracé tout nouveau sur un circuit de 23 km. Non loin de là, le XC ABF et ses 47 km, reste accessible avec un petit niveau, pas besoin d’arriver surentraîné ! Mais cette année tout le monde a les yeux rivés sur le XC Marathon, labellisé Marathon Series UCI. Le parcours enfle en kilomètres et en dénivelés positifs, avec 90 km au lieu de 70 km et 3 405 m de D+ au lieu de 2 400 m. Chaque coureur traverse alors 8 communes, un circuit varié dans lequel les ascensions sont nombreuses et les descentes techniques. De quoi ravir les spécialistes longues distances !

Finalement l’Alps Bike Festival c’est :

• 3 200 participants attendus
• 3 jours d’épreuves
• 18 épreuves – XC – Enduro – Rando – Kids – e-bike
• 4 courses pour les enfants de 3 à 16 ans
• 18 tracés
• 2 randonnées réservées aux VTTAE
• 1 montée impossible
• 1 village exposants
• 2 soirées festives
• 350 bénévoles

Texte : Léonie Dutriévoz